Découvrez des exemples de business qui génèrent des revenus dit « passifs ». Un revenu passif est un revenu généré sans travail de votre part. On l’oppose en générales aux revenus actifs (le CDD ou le CDI).
1. Propriétaire de bien immobiliers
Un propriétaire, s’il met ses biens en gestion locative, n’a pas à
produire de valeur pour toucher les revenus de ses loyers. Ce sont des
revenus très pérennes dans le temps.
2. Propriétaire d’actions d’entreprises
Les dividendes que reversent les entreprises à leurs actionnaires
sont versés en échange d’aucun travail. Il sont la récompense de
l’investissement initial. Ces revenus sont très aléatoires, ils
dépendent de la compétitivité de l’entreprise, de la bonne santé du
marché et de la conjoncture économique.
Bien sûr, dans la plupart des cas, les associés d’une petite entreprise
(91% des entreprises en France ont entre 0 et 10 salariés), sont aussi
gérants ou employés. Puisqu’ils sont les acteurs de la création de
richesse de l’entreprise, et que c’est donc grâce à leur travail que
l’entreprise génère des dividendes, il ne s’agît pas revenus passifs.
Notez qu’un trader ou un boursicoteur n’entre pas
non plus dans la catégorie des revenus automatiques, en achetant et en
vendant en permanence des actions en fonction des cours de la bourse, il
est acteur de la valeur ajoutée qu’il génère.
3. Inventeur d’un produit ou d’un service qui se vend sous forme de licence
Un inventeur qui vend le droit d’exploitation d’un brevet par exemple
peut toucher des revenus réguliers et pérennes. Bien entendu, s’il vend
une licence ‘tout droits cédés’ et exclusive ces revenus ne seront pas
passifs. Au contraire, la vente d’une licence annuelle d’exploitation
est un bon exemple de revenu passif.
4. Ecrivain
Sitôt le travail de rédaction et d’écriture achevé, l’écrivain entre
dans une période de revenus passifs. En fonction du succès de son
ouvrage, ses revenus peuvent être réguliers et pérennes. Dans les faits,
un écrivain et intimement lié au réseau de distribution (et à
l’éditeur) qu’il choisi. Les éditeurs, pour couvrir leurs frais, ont des
rendements et des volumes de vente minimums à tenir. Si l’ouvrage
n’atteint plus le volume de vente minimum imposé par l’éditeur, la
distribution risque de s’arrêter, et les revenus avec.
Il existe cependant un réseau de distribution ou l’on est pas lié à
un minimum de vente ou à un éditeur : Internet. Les éditeurs de livre
électroniques (ebook) s’affranchissent des coûts de la distribution ce
qui leur permet ne jamais arrêter la vente de leur livre. De façon
générale, ces revenus sont très liés au talent de l’écrivain, à la
communication, au bouche à oreille, et à l’intérêt que peuvent avoir les
lecteurs sur le thème abordé.
5. Musicien, graphiste, parolier, photographe, typographe, metteur
en scène,… bref, tous les artistes rémunérés en droit d’auteur
C’est le même schéma que pour les écrivains. La même catégorie en
fait (mais je souhaitais isoler les écrivains de cette catégorie, compte
tenu de la spécifité de la distribution électronique et du succès
grandissant de la vente d’ebooks). Il faut noter cependant que ces
artistes maitrisent souvent moins le succès de leur produit que les
écrivains, car il est souvent lié à une oeuvre plus globale. Ainsi, un
parolier sera lié au charme de son interprète et au talent ses
musiciens. Un metteur en scène sera lié à la grâce des danseurs et au
sens esthétique des décorateurs, etc.
6. Editeur de logiciel
L’édition de logiciel est aussi une œuvre de l’esprit protégée en
droit d’auteurs comme les 2 catégories précédentes. La spécificité
intéressante de ce type de produit se situe dans la mise à jour. A
chaque fois qu’un éditeur de logiciel fait une mise à jour de son
produit, il cumule la valeur ajoutée de son développement. De mise à
jour en mise à jour, de nouvelles fonctionnalités en nouvelles
fonctionnalités, sont produit cumule de la valeur. Ainsi son produit
peut se revendre plusieurs fois au mêmes personnes en ajoutant à chaque
fois un peu d’innovation.
Il faut noter que si le produit nécessite en permanence des mises à
jours pour maintenir son intérêt sur le marché, l’éditeur n’entre plus
dans la catégorie des revenus passifs. L’éditeur est lié à sont travail
pour générer des revenus.
7. Référenceur
Référenceur est un métier réellement atypique. Il n’existe que depuis
7-8 ans maximum. Il consiste à développer en permanence le trafic sur
son réseau de site pour toucher des revenus publicitaires ou
d’affiliation. Il faut noter que ces revenus sont en général en
augmentation permanente et ne s’arrêtent théoriquement jamais. En effet,
les internautes sont de plus en plus nombreux et leur consommation des
pages Internet est en constante progression. De plus les moteurs de
recherches (Google en particulier) privilégient les sites anciens.
Ainsi, plus vos pages sont en ligne depuis longtemps, plus votre trafic
augmente mécaniquement.
Pour autant, générer des revenus importants n’est pas chose aisée.
C’est un métier de patience, qui nécessite d’être à l’affut en
permanence des nouvelles niches (les thèmes abordés sur les sites), des
modifications des algorithmes des moteurs de recherches, etc.
8. Vendeur qui développe un réseau d’affiliés
Vendre en soi est l’exact opposé d’un revenu automatique. Si vous vous arrêttez, vos revenus s’arrêttent.
Le marketing de réseau est la révolution de ce métier. Pour faire simple
ces méthodes de vente consitent à enrôler (ont parle de parrainage) des
nouveaux vendeurs. Les parrains touchent alors des revenus sur les
ventes de leurs filleuls. Et comme les affillés peuvent à leur tour
avoir des affiliés, et que généralement vous touchez aussi une
commission sur ces ventes, les revenus du réseau (passifs) peuvent
parfois dépasser vos revnus de la vente (actifs).